Il est facile de penser que la vie s'arrête dès que le cœur cesse de battre, mais la réalité est bien plus complexe. Le véritable décès, celui qui nous touche au plus profond de notre âme, survient bien avant la fin physique.
C’est le jour où l’on abandonne ses rêves, où l’on cesse de croire à un futur, que l’on meurt véritablement.
Les rêves sont ce qui nous garde en vie. Ils sont la lumière qui éclaire nos chemins, l’énergie qui nous pousse à avancer même quand tout semble sombre. Un rêve est plus qu’une simple envie ou un souhait, c'est une vision de ce que nous pouvons accomplir, un horizon vers lequel nous tendons. Quand on cesse de rêver, on cesse d'évoluer, d'apprendre, de grandir.
Il est normal de se sentir perdu de temps à autre, de traverser des moments où l’on doute de ses capacités. Mais il est crucial de se rappeler que tant que l’on garde un rêve, aussi petit soit-il, on garde aussi une raison de se lever chaque matin. Ce sont nos rêves qui nous font courir après l’invisible, qui nous poussent à franchir des obstacles et à surmonter nos peurs.
Ce n’est pas l’âge ni les circonstances qui déterminent la fin de notre vie, mais la capacité à rêver, à nourrir des passions, à croire en l’impossible. Beaucoup de gens vivent jusqu'à un âge avancé sans avoir jamais cessé de rêver, tandis que d'autres, jeunes et en bonne santé, sont déjà morts depuis longtemps parce qu’ils ont perdu cette étincelle.
Il est essentiel de se rappeler que notre vie a de la valeur aussi longtemps que nous nous accrochons à nos rêves. Ils sont notre essence, notre moteur. Alors, même dans les moments difficiles, il faut continuer à rêver, à espérer, à croire que l’avenir peut être meilleur, parce que tant que l’on rêve, on est encore vivant.
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