Fumer abîme le cortex cérébral et augmente, le risque de souffrir une démence et d'autres maladies.
Les Hommes de science britanniques ont révélé que le tabac abîme une zone du cortex cérébral impliqué dans des fonctions comme la mémoire, l'attention, le langage et la conscience. L'étude suggère qu'arrêter de fumer permettrait au cortex cérébral d'être récupéré.
Les résultats d'une étude ont scientifiquement démontré que le cortex cérébral des fumeurs perd une partie de sa grosseur plus rapide que celle des personnes non fumeuses. En effet, fumer abîme une zone du cerveau liée à des fonctions basiques de l'esprit, en compliquant la capacité de prendre des décisions et de résoudre des problèmes.
L'étude a aussi révélé que ces patients qui avaient beaucoup arrêté de fumer déjà possédaient avant un cortex cérébral plus gros que celui-là qui avaient récemment abandonné l'habit ou qui ils continuaient de fumer. Cela indiquerait que quand une personne arrête de fumer, le cortex cérébral peut récupérer une partie de la grosseur originale, bien que l'on aurait besoin de plus d'études pour le confirmer.
C'est pourquoi, arrêter de fumer, même dans l'âge moyen et après avoir fumé pendant quelques années, réduirait le risque de dommage cérébral ou de souffrir une démence et d'autres maladies.
L'étude a été réalisée par des enquêteurs de l'Université d'Édimbourg, au Royaume-Uni et il a été publié dans la revue Moléculaire Psychiatry. À l'investigation 504 hommes et femmes ont participé avec un âge moyen de 73 ans, la moitié desquels étaient fumeurs anciens ou fumeurs. L'équipe d'enquêteurs a obtenu les résultats à partir de l'analyse des résonances magnétiques effectuées aux fumeurs.
Les Hommes de science britanniques ont révélé que le tabac abîme une zone du cortex cérébral impliqué dans des fonctions comme la mémoire, l'attention, le langage et la conscience. L'étude suggère qu'arrêter de fumer permettrait au cortex cérébral d'être récupéré.
Les résultats d'une étude ont scientifiquement démontré que le cortex cérébral des fumeurs perd une partie de sa grosseur plus rapide que celle des personnes non fumeuses. En effet, fumer abîme une zone du cerveau liée à des fonctions basiques de l'esprit, en compliquant la capacité de prendre des décisions et de résoudre des problèmes.
L'étude a aussi révélé que ces patients qui avaient beaucoup arrêté de fumer déjà possédaient avant un cortex cérébral plus gros que celui-là qui avaient récemment abandonné l'habit ou qui ils continuaient de fumer. Cela indiquerait que quand une personne arrête de fumer, le cortex cérébral peut récupérer une partie de la grosseur originale, bien que l'on aurait besoin de plus d'études pour le confirmer.
C'est pourquoi, arrêter de fumer, même dans l'âge moyen et après avoir fumé pendant quelques années, réduirait le risque de dommage cérébral ou de souffrir une démence et d'autres maladies.
L'étude a été réalisée par des enquêteurs de l'Université d'Édimbourg, au Royaume-Uni et il a été publié dans la revue Moléculaire Psychiatry. À l'investigation 504 hommes et femmes ont participé avec un âge moyen de 73 ans, la moitié desquels étaient fumeurs anciens ou fumeurs. L'équipe d'enquêteurs a obtenu les résultats à partir de l'analyse des résonances magnétiques effectuées aux fumeurs.
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