Le Mexique dépasse et même triple la limite d'accouchements par césarienne recommandé par l'Organisation Mondiale de la Santé.
46 % des accouchements au Mexique du janvier 2009 à un septembre 2014 se sont réalisés par césarienne, un pourcentage qui triple la limite de 15 % recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Le bienfait économique des hôpitaux et du confort pour le personnel médical, entre les motifs distingués par les associations.

Tandis que les médecins qui pratiquent cette opération assurent que la césarienne réduit les risques de l'accouchement naturel vaginal, tant le Groupe d'Information dans la Reproduction Élue (une association civile mexicaine) comme le Gouvernement ils coïncident qu'au-dessus de la santé, il est privilégié, la recherche d'un profit des hôpitaux et du confort pour le personnel sanitaire, qui préfère programmer une césarienne au lieu d'attendre pendant des heures le commencement de l'accouchement naturel.
Pour le Gouvernement et pour les associations sociales, la césarienne superflue est considérée comme violence obstétrique et ils demandent que l'autorité reconnaisse le problème et offre des solutions. Au Mexique, des 32 organismes mexicains, seul le Veracruz, Guerrier et à Chiapas ils considèrent comme la violence obstétrique un délit. Une loi spécifique n'existe pas non plus pour régulier cette pratique
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