Az santé

Le stress fait partie intégrante de la vie humaine.  Contrairement à l’idée reçue, il n’est pas toujours négatif : bien dosé, il devient un moteur de performance et d’adaptation.  Pour comprendre son impact, les chercheurs utilisent souvent la courbe du stress (ou courbe de Yerkes-Dodson), qui illustre comment nos performances varient en fonction de notre niveau de stress. 1. Trop peu de stress : la zone d’ennui Lorsqu’il n’y a pas ou très peu de stress , la motivation chute. On se retrouve dans un état d’apathie, de désintérêt ou même de démotivation. Le manque de pression peut entraîner : une baisse de concentration, une perte d’efficacité, une impression de stagnation. Exemple : un salarié qui n’a aucun défi dans son travail finit par s’ennuyer et perdre son implication. 2. Le stress positif : la zone optimale À un certain niveau, le stress devient stimulant . Il mobilise l’énergie, favorise la concentration et pousse à donner le meilleur de soi. On parle...

Tu rentres épuisé du travail sans avoir l’impression d’en avoir trop fait ? Ce n’est peut-être pas une question de charge de travail… mais d’énergie volée ! Au bureau, certains facteurs invisibles mais bien réels te drainent peu à peu. Voici les principaux voleurs d’énergie au travail à reconnaître (et à éviter !) : Les conflits, les plaintes et les non-dits : un climat tendu pompe ton énergie mentale. Les suppositions : à force de deviner au lieu de communiquer, tu t’épuises. Les personnes négatives : elles te tirent vers le bas, souvent sans s’en rendre compte. Les interruptions constantes : elles brisent ton rythme et te déconcentrent. Les conflits de valeurs : travailler contre ses principes, c’est épuisant. Les réunions inutiles : elles prennent du temps sans apporter de solutions. Les demandes urgentes à 18h : elles empiètent sur ton temps personnel. Le travail désorganisé, les consignes floues : ton cerveau travaille deux fois plus. Une bal...